Durant l’été et le printemps, les plantes sont souvent touchées par les insectes parmi lesquels on retrouve les doryphores. Ces doryphores font partir des insectes qui aiment s’attaquer à certaines cultures et entraînent leurs ravages. Pour lutter contre ces insectes, le marché met à votre disposition des produits chimiques. Parmi ces produits figure le bicarbonate de soude, un produit naturel qui permet de lutter contre les insectes.
C’est quoi les doryphores ?
C’est un petit insecte qui vient de la famille des chrysomélidés et mesure environ 10 mm. Il est appelé aussi chrysomèle de la pomme de terre du fait qu’il aime ravager les cultures de patates. Pour en savoir plus sur ces insectes, essayez ici. Cet insecte vient du Mexique et des États-Unis. Il est arrivé en Europe au 20e siècle lors de l’importation des pommes de terre provenant d’Amérique. Très résistant, on le trouve partout dans le monde jusqu’à ce jour surtout durant l’été. Le caractère des doryphores est qu’ils passent tout l’hiver dans le sol et ne sortent qu’à partir des premières chaleurs pour détruire votre jardin au printemps.
Comment lutter contre les doryphores ?
Sachez avant toute chose que la rapidité de la détection et de l’action constitue des outils pour lutter contre les doryphores. Donc il est inutile de faire un recours à des pesticides chimiques qui sont aussi un danger pour l’environnement et pour la santé humaine. Parmi les remèdes naturels qui pourront vous aider à lutter contre ces envahisseurs figure le bicarbonate de soude. C’est un insecticide naturel qui semble être un véritable appui dans la lutte contre les doryphores. Pour parvenir, il faut un concentré mélangé avec de l’eau pour l’appliquer sur les cultures attaquées. Pour faire le concentré, mélangez une cuillère à café de bicarbonate de soude avec trois cuillères à soupe d’huile végétale. Avant d’appliquer cet insecticide naturel sur vos plantations, diluez 6 cuillères de café de votre concentré dans 1 L d’eau. En bref, prenez vos dispositions pour lutter contre ces insectes.